Posté le 28 novembre 2022 par La Rédaction

Le projet de réhabilitation de l’ancien hôpital entre dans sa phase active. Le projet d’architecture, qui respecte l’intégralité de la façade mais procède à une refonte complète de l’intérieur tout en conservant certains éléments d’architecture, comme l’escalier central et les coursives, avait été élaboré, des plans tracés sur les trois niveaux d’habitation, qui constitueront la Résidence Michel-Poisat, appelée aussi Château Poisat. Il restait à Pascal Gusciglio et Jean-Louis Venet, les concepteurs du projet, à finaliser les plans technique, administratif, financier et promotionnel. C’est chose faite. La distribution a été repensée. Le projet initial, 42 logements du T1 au T4, prévoyait une trentaine de lots en locatif et une douzaine en propriété. La résidence Michel-Poisat devient désormais une copropriété de 42 logements, dont 2 duplex avec un toit cathédrale. Elle est répartie sur 3 niveaux, du rez-de-chaussée au 2e étage, et est équipée d’ascenseurs. Le rez-de-chaussée étant quant à lui surélevé de quelques marches par rapport au niveau du sol, et équipé d’un monte-personnes. Des caves numérotées sont aménagées au sous-sol pour chaque appartement. La résidence se compose de 10 studios (T1) de 29 m² à 32 m², de 9 T2 de 35 m² à 51 m², de 15 T3 de 61 m² à 70 et 80 m² pour les deux plus grands, la moyenne se situant plutôt autour de 65 m², et 8 T4 de 79 m² à 92 m² dont 87 m² et 94 m² pour les deux duplex. Les prix varient en fonction de la situation et de la surface. Ils vont de 85 000 € à 97 000 € pour les studios, de 101 000 à 129 000 pour les T2, de 151 000 € à 180 000 pour les T3 et de 188 000 à 224 000 pour les T4 et duplex. La résidence dispose de parkings privatifs clos et sécurisés par les grilles de l’ancien hôpital. L’ancienne chapelle, côté cour intérieure, a été conservée. Restaurée, elle sera réaffectée en un espace de loisirs pour des réunions ou des expositions à l’initiative de futurs propriétaires.

Énorme engouement du public

Deux journées portes ouvertes étaient organisées mi-octobre pour présenter le projet aux éventuels acquéreurs. La reconversion de ce joyau du patrimoine local, construit en 1850 et laissé à l’abandon depuis près de 15 ans, en un immeuble résidentiel, a suscité un énorme engouement de la part du public. Surfaces, disposition, exposition, mode de chauffage, coûts… Il y avait là des investisseurs intéressés par la valeur du placement locatif, des ménages jeunes ou moins jeunes souhaitant acquérir un espace en vue de l’habiter, des visiteurs indécis, mais attirés par la prestance exceptionnelle du site et ne demandant qu’à être convaincus. Des réservations ont d’ores et déjà été faites. Le site, entouré d’un parc qui domine la ville et disposera de parkings privatifs, est en lui-même remarquable et, de l’avis général, l’investissement ne pourra qu’être valorisé dans les années à venir.